La Bible hébraïque se nomme TaNaKh, acronyme formé à partir des titres de ses trois parties constituantes : la Torah (la Loi), les Neviim (les prophètes) et les Ketouvim (les autres écrits). Elle fut traduite en grec ancien à Alexandrie. Cette version, dite des Septante, fut utilisée plus tard par Jérôme de Stridon pour compléter sa traduction latine de la Bible à partir de l’Hébreu (la Vulgate) et par les « Apôtres des Slaves » Cyrille et Méthode pour traduire la Bible en vieux-slave.
Les chrétiens nomment Ancien Testament la
partie qui reprend le Tanakh et d’autres textes antiques non repris par
la tradition juive. La Bible chrétienne contient en outre un Nouveau Testament qui regroupe les Écrits relatifs à Jésus-Christ et à Ses disciples. Il s’agit des quatre Évangiles, des Actes des Apôtres, des Épîtres et de l’Apocalypse.
La
Bible rassemble une collection d’Écrits très variés (récits des
origines, textes législatifs, récits historiques, textes sapientiaux,
prophétiques, poétiques, hagiographies, épîtres) dont la rédaction s’est
échelonnée sur plusieurs siècles (VIIIe siècle av. J.-C. – IIe siècle). Les versions connues aujourd’hui, comme le Codex Sinaiticus pour le Nouveau Testament,
sont notablement plus tardives que la période supposée de rédaction.
Ceci laisse un immense champ d’exploration aux exégètes et aux
historiens et pose en termes aigus la question d’un recours littéral au
texte.
Les
adeptes de la Kabbale sont familiers de l’activité qui consiste à
interpréter la Bible en associant un code, un symbole, un chiffre à
chaque lettre de l’alphabet hébreu, pour en interpréter la
signification. Le mathématicien russe Yvan PANIN, au début du XXe
siècle, est connu pour ses recherches sur la « structure numérique » de la Torah.
Le rabbin Michael Ben Weissmandel mène également, à peu près à la même époque, des recherches sur la Tanakh, et plus spécialement la Torah.
Yvan Panin a passé sa vie à étudier à la main, l’ordinateur n’existant pas encore, ces signes remarquables attachés à la construction des Écritures. Il a accumulé plus de 40 000 pages de calculs.
La présence du Créateur demeure derrière chaque mot, chaque lettre même des Écritures. Les 40 rédacteurs différents n’ayant fait que transcrire, sur plus de 2000 ans d’intervalles, comme des scribes, ce qui leur était inspiré et révélé.
Le Professeur Yvan Panin a consacré sa vie entière à cette tâche de découvrir que chaque lettre des livres Hébreux et grecs est numérotée et occupe sa propre place spécifique dans l’ordre du nombre total des lettres et de leurs séquences dans la Bible, les moindres variations étant voulues et dirigées par Dieu. Étant donné que chaque lettre Hébraïque et grecque comporte une valeur numérique, » les lettres sont utilisées comme chiffres dans ces langues » chaque mot, expression, phrase et paragraphe, correspondent à une somme arithmétique bien définie.
Depuis sa mort, le Nobell Research Foundation qui prit possession de plus de 43 000 pages de ses travaux manuscrits, a chargé des érudits Hébreux et grecs de poursuivre son étude et de préparer un livre sur le sujet.
Le Dr. Yvan Panin a fourni des preuves scientifiques concluantes que la Bible ne peut être le produit de l’intelligence humaine seule. Cette preuve se retrouve dans les phénomènes numériques renversants, imbriqués dans la véritable structure des manuscrits Hébreux et grecs.
Le Pr Yvan Panin a démontré, soit que chaque auteur des Écritures était un génie littéraire et mathématique sans égal, ou bien qu’il écrivait sous la conduite et l’inspiration de l’Esprit Saint. Le professeur John C Banks, un successeur émérite du Pr Yvan Panin, a de son côté fourni des évidences numériques du même genre.
Pour plus d’information sur le sujet, voir sur google.com, DR YVAN PANIN ou
http://www.bibleetnombres.online.fr/panin.htm
SOURCE : PLEINSFEUX.ORG
Le rabbin Michael Ben Weissmandel mène également, à peu près à la même époque, des recherches sur la Tanakh, et plus spécialement la Torah.
Yvan Panin a passé sa vie à étudier à la main, l’ordinateur n’existant pas encore, ces signes remarquables attachés à la construction des Écritures. Il a accumulé plus de 40 000 pages de calculs.
La présence du Créateur demeure derrière chaque mot, chaque lettre même des Écritures. Les 40 rédacteurs différents n’ayant fait que transcrire, sur plus de 2000 ans d’intervalles, comme des scribes, ce qui leur était inspiré et révélé.
Le Professeur Yvan Panin a consacré sa vie entière à cette tâche de découvrir que chaque lettre des livres Hébreux et grecs est numérotée et occupe sa propre place spécifique dans l’ordre du nombre total des lettres et de leurs séquences dans la Bible, les moindres variations étant voulues et dirigées par Dieu. Étant donné que chaque lettre Hébraïque et grecque comporte une valeur numérique, » les lettres sont utilisées comme chiffres dans ces langues » chaque mot, expression, phrase et paragraphe, correspondent à une somme arithmétique bien définie.
Depuis sa mort, le Nobell Research Foundation qui prit possession de plus de 43 000 pages de ses travaux manuscrits, a chargé des érudits Hébreux et grecs de poursuivre son étude et de préparer un livre sur le sujet.
Le Dr. Yvan Panin a fourni des preuves scientifiques concluantes que la Bible ne peut être le produit de l’intelligence humaine seule. Cette preuve se retrouve dans les phénomènes numériques renversants, imbriqués dans la véritable structure des manuscrits Hébreux et grecs.
Le Pr Yvan Panin a démontré, soit que chaque auteur des Écritures était un génie littéraire et mathématique sans égal, ou bien qu’il écrivait sous la conduite et l’inspiration de l’Esprit Saint. Le professeur John C Banks, un successeur émérite du Pr Yvan Panin, a de son côté fourni des évidences numériques du même genre.
Pour plus d’information sur le sujet, voir sur google.com, DR YVAN PANIN ou
http://www.bibleetnombres.online.fr/panin.htm
SOURCE : PLEINSFEUX.ORG
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