Les papillons ont des ailes de créateur:
Leurs ailes permettent aux papillons de trouver des compagnons pour renouveler leur présence sur terre, trouver des plantes hôte sur lesquelles pondre leurs œufs, trouver leur subsistance, et dans de nombreux cas bien documentés, migrer sur des distances considérables, jusqu’à 4500 km.4 Cela requiert que les ailes soient suffisamment solides pour répondre à la demande en puissance du vol battu, mais suffisamment flexibles pour permettre des manœuvres délicates et précises.
Des découvertes sur le vol:
Un examen minutieux a révélé certains des secrets de leur décollage. Les papillons à larges ailes, comme le Danaus chrysippus aegyptus, quand ils se préparent à décoller, ferment leurs ailes au-dessus de leur thorax et de leur abdomen, s’en suit alors une incroyable séquence d’événements ;
© iStockphoto.com/IvanMikhaylov
Durant ce battement d’aile initial, le corps n’est pas seulement propulsé vers le haut, mais également décalé vers l’arrière sur le plan de l’horizontale. Ce décalage n’est pas une erreur. Il positionne le corps du papillon correctement pour le battement retour, durant lequel les ailes voyagent maintenant horizontalement en relation avec le sol. Au même moment, les bords d’attaque des ailes avant se courbent vers le haut. Cela permet aux ailes de garder un angle d’attaque positif, produisant ainsi une traction verticale qui augmente la prise de vitesse ascensionnelle.
Une étonnante variété créative:
Une version particulière du vol des papillons, appelée communément
‘formation en entonnoir’, porte la notion de ‘création intelligente’
vers de nouveaux sommets. Ici nous focalisons notre attention sur ce qui
se produit immédiatement après la pause des ailes, à la fin du
battement descendant.
Les extrémités des ailes se touchent au commencement du battement
ascendant : à ce moment précis, nous avons une image inversée de la
phase d’ouverture du battement descendant. Alors que le battement
ascendant progresse, nous avons deux forces de flexion distinctes qui
commencent à agir simultanément sur les ailes ; une le long de la corde10 des ailes, depuis le bord d’attaque jusqu’au bord de fuite ; la seconde agissant à 90° de la première.
Les deux forces tordent les ailes en forme d’entonnoir ; les bords
d’attaque formant la bouche, et les bords de fuite formant le fuseau.
Quant l’entonnoir s’élargit, l’air coule à l’intérieur de la bouche de
l’entonnoir et le bouchon formé par les ailes arrière maintient le flux.
L’effet d’entonnoir fonctionne jusqu’à ce que les ailes se séparent :
dès que l’air s’infiltre au-delà des bouts d’aile, l’effet s’arrête. A
ce point du cycle de battement des ailes, l’effet d’entonnoir a produit
son effet ; les ailes ont atteint une vitesse de battement suffisante
pour que les règles de l’aérodynamique conventionnelle prennent le pas
et génèrent suffisamment de portance.
Résolution d’une énigme:
Durant l’effeuillage des ailes, l’air devrait logiquement être également attiré à l’intérieur du vortex par l’arrière. Cela annulerait l’effet de l’air venant par l’avant, compromettant ainsi la génération de portance. Heureusement pour le papillon, il possède une particularité brillamment conçue qui empêche cette fuite. Ses lobes anaux (la partie de l’arrière de l’aile le plus près de l’abdomen) sont flexibles et agissent comme une valve pour éviter tout courant d’air rétrograde ; du moins tant que le processus n’est pas terminé. Dans ce concept ingénieux, l’aile arrière est ainsi capable de se plier le long d’une rainure, appelée sillon claval, ce qui permet au papillon de conserver une fermeture étanche pendant le battement ascensionnel. Une aile arrière non flexible ne pourrait pas le faire, car elle serait bloquée par le corps de l’insecte.On fait généralement référence à ce mécanisme sous le nom de ‘claquement – effeuillement’6 (‘clap and peel’ en anglais, ndt). Tous les papillons, toutefois, n’utilisent pas cette séquence exacte de mouvements.
Une étude scientifique7 a fait les observations suivantes :
« lors de battements d’aile successifs, Vanessa atalanta peut choisir d’utiliser, ou pas, la capture de sillage, les tourbillons de bord d’attaque, un mécanisme de type ‘claquement – effeuillement’, et une charge positive, négative ou nulle, lors du battement ascensionnel. »
« lors de nos expériences, les papillons ont utilisé tous les mécanismes aérodynamiques instables suggérés. Ils basculent librement d’un mécanisme à un autre, utilisant souvent des mécanismes complètement différents lors de battements d’ailes successifs, et sont capables de choisir des mécanismes aérodynamiques différents en fonction de leur comportement de vol. »Il est intéressant de noter que le cerveau du papillon qui rend toutes ses décisions de vol possible (et une multitude d’autres décisions quotidiennes) n’est pas plus gros que le point au-dessus de ce ‘i’.
Malgré les implications évidentes d’une conception intelligente dans le mécanisme de vol des papillons, la pensée évolutionniste continue de nier l’évidence, comme nous le rappelle Romain 1:20. Un commentaire typique : « les avions de chasse les plus modernes sont à commande électrique : ils dépendent d’un ajustement continu des surfaces d’aile par un contrôle informatique avancé … Les insectes, eux, accomplissent des manœuvres de vol complexes intuitivement, utilisant un savoir-faire d’avionique à commande électrique produit par l’évolution il y a plus de 100 millions d’années. »8
Mais les avions modernes sont créés par des concepteurs intelligents, construits par des constructeurs intelligents, maintenus en l’air par des programmes intelligents, eux-mêmes écrits par des êtres intelligents qui contrôlent ces machines. De façon étonnante, les évolutionnistes croient que les insectes, y compris les papillons, ont recueilli tous les éléments requis pour le vol (les muscles, les ailes, les écailles, la vue, la portance, etc.) par des mutations aléatoires filtrées par les demandes de l’environnement.
Un éminent chercheur dans le domaine des papillons a admis que :
« l’étude de l’évolution implique immanquablement de nombreuses spéculations et suppositions, et ce serait une erreur d’imaginer que nous comprenons le cours de l’évolution chez les papillons. »
Il continue en disant (c’est moi qui souligne) :
Vraiment ? L’homme moderne s’enorgueillit de sa capacité à concevoir, avec beaucoup d’efforts et beaucoup d’argent, des avions à ailes fixes qui sont capables de générer de la portance. Et pourtant, le créateur a conçu quelque chose de bien plus sophistiqué qui permet à tous les papillons d’utiliser des ailes flexibles pour générer de façon efficace une portance, à la fois lors des battements montants et descendants, et de plus, sans polluer l’environnement. Et en bonus, ils peuvent se reproduire, à l’inverse des avions créés par les hommes. Pourtant, en accord avec leur système de croyance naturaliste, les évolutionnistes sont obligés de proclamer que les papillons sont « juste assez bon pour s’en sortir » !
Ces surprenantes et robustes créatures ont survécu à la chute, au déluge, et aux myriades de changements dans leur environnement provoqués par l’homme, et malgré cela, elles continuent à prospérer et à étonner l’humanité. Croyez-vous encore que les papillons agitent simplement leurs ailes, ou pouvez-vous voir maintenant plus clairement la main créatrice de Dieu ?
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