Si, cet air légendaire enchante
l’Univers,
parfois dérange,
cela a peu d’importance,
car, l’@u-delà
reprend sa place féérique,
célèbre un futur
exploit,
sur un calendrier astral
date son idéal sur le choix
des âmes,
avant la bienvenue extraordinaire,
de son Etoile,
encense davantage la chance…
sur son Hymne,
les Gardiens de la Flamme,
s’unissent sur le fond du tableau de plus en plus sombre,
au blason merveilleux
du Lion, du Cerf
haut en couleurs,
à la Lumière,
viennent en file indienne, en parallèle
sur ces temps actuels,
si cruels…
à l’abri des caprices et des désirs,
leurs ombres furtives sillonnent en artistes
les quatre coins du Monde,
sans ciboire, sans gloire,
recueillent multitudes de ressentis,
sous les cicatrices, et les blessures
ils ravivent l’espoir,
sur mille et une histoire
usent de mots, de gestes,
aussi sages que justes,
volontaires combattent sur leur lieu
l’enfer,
sur un timing exceptionnel…
si, le Royaume Céleste
a scellé un secret sur leur zèle
dès la naissance, lié à une destinée dévouée
à l’Humanité
au Nom de l’Eternité,
leur rêve gigantesque se dévoile
en plein chœur du sacrifice
venus sauver les plus belles vertus,
le sens des valeurs…
ils entrouvrent doucement
la Porte de la Connaissance,
d’un souffle, dessinent une calligraphie,
sans bruit,
en maints messages, leur passage inverse
l’envers à l’endroit,
à distance, perçoivent sous les préjugés,
le rôle en arrière plan
de Satan…
libres,
maitrisent la méthode de l’antidote,
sur un canal divin, dans l’espace vide,
jours et nuits
captent à l’horizon
un Conte de Prédictions
sans leurre…
un refrain cristallin imprègne leur quotidien,
dès le matin, l’offre, sans regret
à leur prochain,
sûrs que demain, il aura perçu l’appui intangible
de l’@insi soit-il…
tandis que l’@men
en bouclier, protège leur savoir-faire,
face aux pièges et aux règles des sciences dites si humaines,
ils glissent entre deux analyses,
au soin d’un besoin, l’air de rien
délivrent une résonnance
à la Trinité
une Vérité …
leur sollicitude a la certitude d’être utile
sans bavardage futile, inutile,
ni habitudes,
avec l’@mour
vibrent qu’à la spontanéité,
et sincérité,
puis, lors d’une intuition s’avance
au hasard ou sur un rendez-vous,
ôtent l’amnésie d’antan,
des Fils d’Adam…
si, cette fable voyage dans les nuages,
entre plaines et montagnes,
brille sur une pierre ancestrale
le souvenir vivant du Fils
le Saint Graal…
alors, ils se métamorphosent, invisibles,
reprennent leur arme de défense,
fiers et espiègles sur l’avenir,
revivent comme autrefois,
le passé si vite oublié
en disant seulement
« Mon Père, ils ne savent pas ce qu’ils font »
…
ainsi ils vont, et viennent,
depuis des siècles
constater le désastre des nations
leur déchéance en état d’urgence
vise un autre plan d’actions,
« au feu du diable »
ces clans et fans jurent en double langage,
blasphèment l’essentiel,
réinventent des lois et devoirs au nom d’un pouvoir,
multiplient les mensonges,
entre pères et frères,
blanchissent les erreurs sous des cauchemars
enchainent ainsi les malheurs,
ici, ou ailleurs,
hier, ont semé leur égoïsme
aujourd’hui, ils récoltent le fruit de leurs intentions,
une ambition qui accable les maisons,
empoisonne l’enfance
dans la richesse ou dans la misère,
la mort est bien réelle même dans les ruelles …
sur cet héritage musical et sensé
d’@mour
les Sentinelles du Fantastique
se hâtent de délivrer sur les mains, et sans condition,
l’Option
in extrémis,
avant la fin de l’@pocalypse,
au Nom du Christ,
avec la force et la volonté
du Mystique,
au sommet de la noblesse du sentier
à la Lumière
donnent une vision à la magie folklorique,
au-delà des 7 Merveilles,
la Paix en Soi,
sous le Figuier et l’Olivier…
alors lorsque les oiseaux et les papillons,
s’envolent heureux, sur les saisons,
ils songent, à leurs ailes brûlées, ici,
sous la lune ou le soleil,
humbles, dans le silence,
jusqu’au crépuscule,
bluffent la tristesse des cités dorées,
ainsi, éveillés
à l’Esprit de la Vie,
à la lueur d’une bougie,
au parfum d’une fleur, sous la pluie,
paupières fermées,
chaque chose se superpose,
sans ombrage,
jusqu’à l’Osmose,
les écritures retournent les pages
de la Genèse… au Paradis…
ce sens inné, ou apprivoisé,
parfois, insaisissable, sur la toile,
inspire à respirer l’invisible,
présumé surréaliste, alors que tout se réalise,
confirme les Prophéties,
le talent d’Elie ou de Jérémy,
au seul chemin qui mène au Bien,
à l’Etoile du Matin…
alors, pendant que le slogan du sang se banalise,
le défi de l’instant a de plus en plus d’évidence
car, l’Humanité
paie cher la folie des grandeurs,
comme celle des égéries,
de Jézabel ou d’Isis,
sur le même dessein,
le Monde
voue son âme au culte des illusions,
sans reconnaître le point de départ
de l’Histoire
poings et mains liés
par l’Orgueil
bien caché sous l’apparence des sciences…
après Moise, Abraham,
si les avertissements lointains de St Jean,
surgissent de plus en plus visibles,
de Jérusalem jusqu’à Addis-Abeba,
le déclin se révèle en pertes,
en larmes,
la Main de l’Esprit Saint
frôle le seuil des édifices,
touche l’arrogance par la finance,
elle improvise sa stratégie divine
sur la balance, met en évidence
la cause et la conséquence,
et, par la Table des Lois
achèvera le résultat,
sauvera les simples d’esprits
ayant la mémoire,
d’un autre décor,
le Temple et le Christ
le Veau d’Or…
ce dernier enjeu vient sur les yeux
le Miracle du Spectacle
rappelle l’errance des premiers,
et la prouesse des derniers élus venus
au Nom du Salut
révéler aux âmes
la seule guérison
l’Oraison
une Croix en Soi,
afin d’évincer les aléas, et les ennemis,
la Bénédiction des Cieux,
les guidera jusqu’au jour J’
au Signe de Dieu…
Bon matin frère ! J'ai lu toute la nuit sur sujet qui m'interpelle j'ai tagué ton nom sur ma page va voir et dit moi ce que tu pense sur le sujet, si ça te tente bien sur :)...moi je vais faire sieste car je doit me lever dans une heure quinze environ ...je n'ai pas vu la nuit filée.... Alors que la Paix du Christ t'accompagne en ce vendredi et j'ai hâte de lire tes impressions
RépondreSupprimerOui frère j'irai voir dès que le temps me le permettra. Sois béni richement et bon week end!
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