Pensées du soir. (Partagé par Jean François)
- Maître, ça chauffe.
- Ça chauffe car tu résistes. Tu as peur d’accueillir, tu as peur de ton image, tu veux garder le contrôle.
- J’essaie juste de faire les choses bien.
- Tu veux rester conforme à ce monde, alors tu refuses d’être
pleinement qui tu es. Forcément ce frottement entre qui tu veux être et
qui tu deviens fait que ça chauffe. Tu es drôle, tu parles de la pièce
de théâtre qui est terminée, mais tu t’accroches à y jouer encore un
rôle.
- Que dois-je faire ?
- Rien. Tant que tu penses à faire des choses, tu ne travailles pas en phase. Crois-tu que l’intuition se réfléchit ?
- Mais je dois assumer mon rôle dans ce monde, même si quelque part je n’y crois plus.
- Tu crois encore que le personnage dans lequel tu joues ton rôle est
meilleur que l’Être que tu essaies de devenir. Crois simplement que ce qui
arrive est meilleur que se qui s’en va.
- On en revient à la peur du devenir, de ce qui va arriver.
- Et oui, heureux celui qui croit sans avoir vu. Ta Foi et ton Amour
devraient être le gage que ce qui naît sera meilleur que ce qui meurt.
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